Relecture 500


Clé de passage
  
  Dans l'énigme 500, on a découvert que le titre de l'énigme fait référence aux notes de musique. Dans l'énigme
  suivante, la 420, les planètes du système solaire sont utilisées
comme méthode de cryptage. Or dans la gamme
  pythagoricienne, les planètes et les
notes de musique sont associées. En effet, dans l'Antiquité, Pythagore
  associa les notes
de musique avec les planètes du système solaire. Il établit une gamme cosmique composée de
  sept intervalles et six tons. Selon ce modèle, la vitesse de rotation des
planètes autour de la Terre correspond à
  la vibration de la corde d'un instrument,
alors que la longueur de la corde correspond à l'orbite de chacune
  des planètes.
Selon Pythagore, plus les planètes évoluaient rapidement (comme Mercure et Vénus), plus le son
  qu'elles produisaient était aigu, et, inversement, plus elles tournaient lentement,
(comme Jupiter), plus le son
  qu'elles émettaient était grave. Dans la gamme
pythagoricienne, le si est attribué à Saturne, le do à Jupiter, le
  ré à Mars, le mi au
Soleil, le fa à Mercure, le sol à Vénus et le la à la Lune.

 
Illustration tirée de The History of Philosophy, de Thomas Stanley, XVIIe siècle.
 
On remarquera une clé de sol dans le visuel de la 500, il sera opportun de l'associer à la planète Vénus. (voir reliquat 500). Pour conclure, la gamme pythagoricienne est la clé de passage 500-420.
 

Interprétation du visuel
 
1)
 On distingue la lettre C, et une flèche qui pointe vers la quatorzième graduation de la règle.
     (C correspondant au chiffrage de la mesure 4/4 et 14 correspondant au reliquat de la 500).
     Le chiffrage de la mesure 4/4 vaut 4, 4 vaut une noire, une noire vaut un point, un point
     vaut E en morse;  on retrouve 4E comme 1er reliquat
de la 520. VISUEL 1

2) On distingue une clé de sol. VISUEL 2
    A noter: La note sol est associée à la lettre G. La lettre G de CARIGNAN est codée 224 dans l'énigme 
    textuelle, ce qui correspond au nombre de jours que met Vénus pour faire le tour du Soleil. La période de
    révolution des planètes étant la méthode
de cryptage de l'énigme suivante, la 420. (De plus, sol équivaut à
    Vénus dans la gamme Pythagoricienne).

 
3)  L’ombre de l’équerre mesurant 8 cm fait allusion au 8 mm qui séparent le réservoir 351 de la passerelle
     "Plle" sur la carte IGN de Dabo.
Voir plus bas pour plus de détails. VISUEL 3

4)  L’ombre du compas mesurant 4 cm fait allusion au 4 mm séparant la borne cadastrale au réservoir 351 sur
     la carte IGN de Dabo. L’écartement des branches de 4 cm fait allusion au 4 mètres séparant la supposée
     cache de la borne cadastrale
sur le terrain. VISUEL  4
     Voir plus bas pour plus de détails.
 
5)  Les herbes folles font référence à Dabo et au mot "pelle" plus précisément. VISUEL 5 
     (Le mot "pelle" étant un fragment de reliquat de l'énigme 520, énigme illustrée par ces mêmes herbes folles.
     Le mot "pelle" amènera à l'abréviation "Plle" soit
une passerelle de la zone triangulaire finale).

 
Remarque

La règle, l'équerre, le compas et les herbes folles sont un mode d'emploi pour trouver la cache. En effet, la
règle servira à tracer le trait "Passerelle 279 - Réservoir 351",
l'équerre à tracer l'orthogonale "Réservoir 351 -
Plle" et la distance
"Réservoir 351 - borne cadastrale" à l’intérieur de cette même orthogonale
(la borne cadastrale se trouvant à 100 mètres du Réservoir 351 direction "Plle"). Le compas sert à tracer la distance "cache - borne cadastrale" sur cette même orthogonale. (La cache supposée se trouvant à 4 mètres de la borne cadastrale direction "Plle"). Voir les reliquats de l’énigme 520 pour plus de détails.       
 

 
6) On peut apercevoir un 4 au niveau de la note mi sur la portée du visuel. Or mi équivaut à E dans la gamme
    anglo-saxonne. On retrouve donc
le premier reliquat de la 520: 4E. VISUEL 6
 
7) On peut apercevoir un triangle équilatéral à côté de la graduation 8,5 cm.
    Ce triangle fait 1,5 cm de côté. Il est divisé par une médiatrice de 15 mm, 10 mm du sommet jusqu'à la base
    et 5 mm dans le prolongement de la base. Si on accole
ces deux nombres ont obtient 105, soit un nombre
    triangulaire
d'indice 14, soit le reliquat de la 500. (Sachant que 351 est un des nombres triangulaires
    suivants (rang 26), soit le reliquat de la 420). Personnellement, je vois une démarcation à 4 mm dans le
    prolongement de cette base, et si on accole les 4 mm avec les 10, on obtient 104, soit la distance cache
   
supposée - réservoir 351. (la médiatrice de 10 mm réprésentant les 100 mètres Réservoir 351 - borne cadastrale,
    la base du triangle représentant la borne cadasrale et les 4 mm rep
résentant les 4 mètres de distance cache
    supposée - borne cadastrale.) Et si on ajoute les
4 mm avec les 10 mm on obtient à nouveau 14, ce qui explique la
    présence de ce triangle dans le visuel de la 500. De plus, le nombre 105 fait penser au diamètre de 105 mm
    de la boussole de la 780. Or pour
savoir si un nombre est triangulaire, on multiplie ce nombre par 8 et on
    ra
joute 1, si le résultat obtenu est un carré, alors ce nombre est triangulaire. Et si on applique cette formule
    au 4 cm de l'ombre du compas sur l'équerre, o
n a 4 x 8 + 1 = 33 cm, soit la valeur du pied mais 33 n'est pas
    un carré donc
4 n'est pas un nombre triangulaire! (c'est juste anecdotique!).

    Pour finir, dans un triangle équilatéral, les hauteurs, les médiatrices et les bissectrices sont confondues. Or
    l’orthocentre des hauteurs du triangle de la zone finale est
situé sur la cache supposée. (Voir relecture
    Supersolution).
VISUEL 7

     




































 
 



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