520




Synthèse de Madits
 
 
- Il y a un piège dans la 520.
- Pour décrypter la 520 il faut avoir décrypté l’énigme précédente.
- On peut trouver la solution de la 520 à l’issue de la 5ème ligne de texte (ce qui ne signifie pas que la fin soit
  inutile).
- La 11ème énigme donne la zone, plus exactement on a la zone à l’issue de la 11ème
énigme.
 
- Il n’y a pas de clé de passage 11ème énigme -> 12ème énigme ou alors on peut considérer qu’il s’agit de la zone
  ou des reliquats.

- Le titre concerne un événement présent.
- La terre s’ouvre verticalement, par en haut.
- Le titre n’a pas de lien direct avec les deux intervalles même si ça fait partie de la même énigme.
- Il faut prendre bonne note du titre.
 
- On rencontre les eux avant la 520 sous une forme différente, plus précisément on rencontre tous les eux dans
 
la même énigme.

- Eux sont tangibles (et l’étaient déjà quand on les a rencontrés pour la 1ère fois).
- Dans la 1ère ligne de texte "eux" et "ils" désignent la même chose.
- Eux sont de même nature, ce sont des entités, des choses.
- Eux sont immobiles et pérennes.

- Eux ont une caractéristique commune mais n’ont pas strictement le même aspect physique.
- Eux ne sont pas des lieux.
- Eux portent le même nom commun.
- Eux sont du genre masculin, et ce genre est représentatif de ce qu’ils sont réellement.
- Eux sont limités en nombre.
- Il y a une indication dans le livre quant au nombre de eux, on connaît ce nombre
quand on a identifié les eux.
- Les eux sont français et en France.
- Eux ont un rôle important à jouer, il est inutile de se déplacer pour les trouver.
 
- Les fils ne sont pas tangibles.
- Le mot "fils" a un seul sens, il s’agit de ficelles et non d’enfants.
- On pourrait tisser les fils virtuellement.
- Les fils ne sont pas assimilables à des traits.

- Les fils sont limités en nombre, il y en a plus de deux.
- Le nombre de fils est important, il est donné par les énigmes précédentes.

- La longueur des fils n’a pas d’importance.
- Les fils n’ont rien à voir avec une action à entreprendre sur le terrain.
- Les fils n’ont aucun rapport avec le titre d’une autre énigme.
- On peut lier les fils avec les énigmes.

- Il y a une sorte de rapport entre les fils et le doute.
- Les fils ont un rapport avec le jeu de la 520.
- Les fils ne servent pas à refermer la blessure de Dame Nature.
- Il faut dénouer tous les fils et il n’y a qu’une seule façon de le faire.
- Les fils étaient emmêlés au départ, et par un seul nœud.
- A la 3ème ligne de texte les fils sont dénoués et on sait de quels fils il s’agit.
- En arrivant dans la 520 les fils ne sont pas dénoués mais à la 2ème ligne de texte ils le
sont.
- Le doute et le supplice sont concomitants.
- Le doute vient après avoir dénoué les fils et avant de trouver où porter sa pelle.
- Quand le doute intervient on est encore dans son fauteuil.

- Le doute est le dernier supplice qui nous est infligé (infligé une seule fois et seulement au chercheur).
- Le supplice n’est pas de nature physique.
- Il ne s’agit pas d’un doute quant au choix de la bonne zone (le doute ne vient pas de la
nature de la zone).
- D'une certaine façon le doute va nous aiguiller dans la bonne direction.
- Le doute est unique.

 
- Dame Nature est propre à la 520 et ne concerne pas les énigmes précédentes.
- Dame Nature est tangible si on considère ce qu’elle représente et intangible si on considère le concept général.
- D’une certaine façon Dame Nature est symbolique et on peut dire qu’elle est éternelle.
- Dame Nature n’est pas lumineuse et ce n’est pas une fée.
- Dame Nature n’a rien à voir avec le doute de la 520.
- Dame Nature est différente de la vérité.
- Dame Nature est la seule à laquelle nous devons montrer notre respect, et il n’y a
qu’une seule façon de le
  faire.
- On peut connaître l’identité ou la nature de Dame Nature depuis son fauteuil.

 
- Le mot "intervalle" doit être pris dans son acceptation géographique du terme "espace entre".
- Les deux intervalles s’appliquent seulement à eux.
- Que les deux intervalles soient égaux ou pas n’a pas d’importance puisqu’il s’agit
d’une hypothèse théorique
  (en réalité il n’y a pas deux intervalles et on connaît le
véritable nombre d’intervalles quand on a identifié les
  eux).
- Il y a deux intervalles dans tous les cas possibles.

- Les intervalles sont propres à la 520 mais on les a rencontrés avant par la force des choses (puisqu’on a
  rencontré les eux avant la 520).
- Les intervalles s’appliquent à tous les eux en même temps et non pas séparément.
- Les intervalles sont mesurables mais on ne sait pas si c’est important pour le jeu.
- Le nombre d’intervalles n’est pas variable.
- Le nombre d’intervalles ne nous aide pas à compter les fils.

 
 - On doit comprendre le jeu de la 520.
 - Le jeu est propre à la chasse, on ne peut pas le rencontrer ailleurs.
 - Le jeu de la 520 ou des éléments de ce jeu ont été rencontrés avant d’aborder cette
énigme.
 - D’une certaine manière on peut dire que le jeu se déroule en plusieurs parties.

- Le jeu est essentiellement interne à la 520 mais d’une certaine façon il désigne aussi la             
  chasse.
- Il ne s’agit pas d’un jeu bien précis mais d’une allusion à ce qui précède, c’est à prendre dans son acceptation
  habituelle.
- On ne peut pas désigner le jeu de la 520 par un nom de jeu (jeu de l’oie, 421,
poker,…).
- Le jeu de la 520 serait plus facile si les eux étaient alignés.

- Le terme "là" ne désigne pas un lieu (il fait référence à la situation décrite dans la phrase).
 
- La règle du jeu est importante, elle s’applique à tous les éléments de cette partie cruelle.
- La règle doit être respectée de la manière la plus stricte, il n’y a pas vraiment d’écart
possible.
- D’une certaine façon la règle de cette partie cruelle est de nous inciter à trouver
comment porter notre pelle.
- La règle n’a aucun rapport avec celle du visuel de la 500.

 
-  La partie cruelle fait référence à la chasse.
-  La partie est différente du jeu de la 520.
-  Ce qui est cruel dans la partie ce n’est ni la solitude ni le poids de la pelle.


- Il n’est pas indispensable d’être seul pour trouver où porter sa pelle mais si ce mot est présent ce n’est pas
  sans raison, il a une certaine importance.

- "Porter sa pelle" signifie "creuser un trou".
- On ne porte sa pelle qu’une seule fois.
- La pelle ne désigne que l’instrument pour creuser.

- "Montre ton respect" et "referme sa blessure" ne veulent pas dire la même chose mais il s’agit d’une seule et
  même action (dans la continuité l’une de l’autre).

- Il est important de refermer la blessure de Dame Nature (après l’avoir ouverte).
- La blessure n’est pas lumineuse et n’a pas de rapport direct avec la flèche d’Apollon.
- La blessure est propre à la 520.
- La blessure n’est pas une véritable blessure et elle est légère (de taille réduite).
- D’une certaine façon on est responsable de la blessure de Dame Nature.
- Quand on a résolu la 520 il est facile de comprendre ce qui a provoqué la blessure (sous
réserve de
  confirmation).

 
- Les dernières phrases de la 520 donnent un conseil écologique (mais peut-être pas seulement).
- La ponctuation du texte n’a pas d’importance.
 
- La zone ne porte pas de nom (mais à l’intérieur de la zone certains endroits ont des noms).
- La zone n’existe pas en dehors du jeu.
- La zone n’a pas été tracée par la main de l’homme.

- La zone a des limites qui ne sont pas naturelles et qui sont matérialisées par des traits, ainsi la zone peut
  légèrement fluctuer d’un chercheur à un autre en fonction de la
précision des tracés.
- On trouve les différents points délimitant la zone dans un certain ordre. La zone est de la taille d’une ville
  moyenne (elle est plus grande qu’un petit bourg et moins étendue
qu’une grande métropole).
  Quelques exemples de ville moyenne : Vendôme, Sedan, Grasse, Auch, Avignon,
Béziers, Cahors (entre 30000
  et 100000 habitants environ).
- La zone n’a pas de taille précise et définie, elle varie légèrement d’un chercheur à un
autre. La zone figure
  entièrement sur la 2ème carte.
- La zone est à peu près au milieu de la 2ème carte (la carte de référence est celle de
1993).
- La zone est en France.
- La zone n’est pas sur une île et elle n’est pas à cheval sur une frontière (elle est
entièrement en France).
- On ne peut pas trouver la chouette en ayant seulement la zone car ça fait une surface trop importante à
  prospecter, il faut aussi la supersolution.

- La zone est unique.
- Il n’y a pas de pré-zone avant la zone.

- Les chercheurs ont trouvé de nombreuses fausses zones.
- La cache de la chouette se trouve à l’intérieur de la zone.

- La vraie zone a été foulée par des chercheurs en 1994 (volontairement ou par hasard).
- Il n’y a qu’une seule façon de trouver la zone.
- La zone n’est pas confirmée par une autre énigme.

- C’est le chercheur qui doit être sur la zone à l’issue de la 11ème énigme et non le piéton de la 780.
- La zone est à considérer comme une aire / une surface plutôt que comme un volume.
- La zone n’a pas de rapport avec Max Valentin ou avec Noé.
- La zone n’est pas un reliquat (ou une sorte de reliquat).

 
- Le visuel ne représente pas la cache (aucun visuel ne représente la cache).
- Le visuel est symbolique (plus symbolique que descriptif).
- La tache bleue en haut du visuel représente le ciel et non pas de l’eau.
- Il y a des herbes folles sur le visuel mais leur nature n’a pas d’importance.
- Les herbes sont normales, et leur taille n’a pas d’importance.
- Les herbes ne brûlent pas.
- Les herbes n’ont pas de lien direct avec la cache, il ne sert à rien de les compter.
- Il y a un lien très ténu entre les herbes de la 520 et celles de la 500 que l’on peut trouver
avant de déterrer la
  chouette mais cela ne nous aidera pas.

- La lueur sur le visuel a son importance, elle est symbolique (mais ce n’est ni un soleil levant ou couchant ni la
  lune).
- Le visuel est assez précis pour en faire ce qu’il faut en faire.
- Le moment de la journée n’a pas d’importance.

 
Solution
 
520
 
LA TERRE S’OUVRE
(Indication de creuser un trou)
            
Avant toutes choses, on trouve deux fois les lettres IGN dans
"alignés" et "éloignés".
Ceci afin de nous dire de travailler sur une carte IGN au 25 000ème.
On retrouve pour la deuxième fois la ville de Larédo dans:
 "Car c’est la règle de cette partie cruelle.
   Seul, tu dois trouver où porter ta pelle.
Cela n’a "à mon humble avis" que pour unique but de nous conforter dans la fausse piste entamée en 650.
Entrons dans le vif du sujet:

"LA TERRE S’OUVRE"
 
Le titre nous indique qu’il va falloir bientôt déterrer la chouette.
 
"Entre eux, il n’y aurait que deux intervalles s’ils étaient alignés."
 
Ceci est une phrase théorique, donc c’est une hypothèse.
Les "eux" sont des points précis. Le seul et unique moyen d’avoir deux intervalles avec des points alignés c’est d’en avoir trois.
Or le conditionnel de la phrase nous montre bien qu’ils ne sont PAS alignés.

Or trois points qui ne sont pas alignés forment forcément un triangle.
On en déduit que la zone finale est triangulaire.
 
Mais quels sont ces trois points qui forment la zone ?
 
Nous avions trouvé la constellation du Corbeau dans l’énigme 600.
Or il existe un rocher des corbeaux aux alentours de Dabo:
 

 
 
  
 La 650 nous donne les bornes Saint-Martin comme deuxième point de la zone triangulaire finale. Lors du
 passage en revue, nous avions trouvé des aigles.

 En suivant le même raisonnement que pour le rocher des corbeaux, nous remarquons que dans la constellation
 de l'Aigle existe une étoile appelée "Tarazed".

 Or "Tarazed" signifie "le faucon ravisseur" en perse:

 
g    Gamma  Aquilae  :  Tarazed.

a = 19 h 46 m 15 s     d = +10° 36' 48"    Sp = K3 II    T  : 4200 K    (BC  : -0,8) m = 2,72    M = -3,03    L = 1400 
p = 7,08    Dist  : 460 a-l    un compagnon


   "Tarazed": "le Faucon ravisseur", superbe Gerfaut des hauteurs! Aigle ou Faucon, c’est toujours un
rapace... Ravisseur de qui? - d’Antinoüs pardi! Autre traduction de ce nom persan: "le Fléau de la balance".
Tiens! que vient faire cet objet dans l’Aigle? Veut-il évoquer le fragile équilibre qui maintient contre vents et
marées Altaïr et ses deux "satellites" en bon équilibre? A bien y regarder, et depuis nos latitudes, le fléau
penche vers l'est à son lever comme à son coucher.
   Et bien, moi, je vous dis que cette balance est fausse ! A moins de la voir depuis l’hémisphère sud... En effet: l'étoile du plateau droit (ouest) vaut 9 masses solaires, alors que celle du plateau gauche "Alshaïn"(Bêta Aquilae) = Faucon ou Balance, comme vous voudrez - puisque les deux traductions existent (mot arabe d’origine persane): 1,6 masse solaire. C'est clair, clair comme le jour, illuminé par Tarazed : 1400 soleils nourrissent ses lampes alors que 5 soleils jaunes alimentent "Alshaïn", pas un de plus. Cette dernière ne
franchit pas la barre des magnitudes réservées à notre étude: 3,71. Quant aux grosseurs de ces deux astres, le jour et la nuit! - 98 et 3 rayons solaires, alors que leur éclat ne diffère que d'une seule magnitude, éclat apparent bien sûr. C'est dire qu'elles n'habitent pas du tout la même région sidérale! L'une s'est installée à 460 a-l -Tarazed - l'autre, Alshaïn, reste campée à 45 a-l: dix fois plus près! Imaginez l'inverse...
   Bon vent, bonne route pour ce géant cosmique... A 132"6 de Tarazed, brille une étoile de magnitude 10,7.

 
 

Voir ce site d'astronomie d'où est tiré l'article ci-dessus.

 
Après avoir trouvé des corbeaux et des aigles, nous venons de trouver des faucons, ce qui nous amène à chercher sur la carte un troisième point pas trop éloigné des 2 autres en rapport avec les faucons. Nous trouvons le Falkenfels, soit le rocher des faucons en allemand.
          

"Mais ce serait là un jeu bien trop facile!
  Maintenant que tu as dénoué tous les fils,
  Le doute est le dernier supplice qui te sera infligé."

 
Or il se trouve qu’une des voies d’escalade du Falkenfels s’intitule: "A l’ombre du doute".
Nous avons donc confirmation que le Falkenfels est le troisième point de la zone triangulaire finale.
Les trois points étant le rocher des corbeaux, les bornes Saint-Martin et le Falkenfels dans cet ordre.
Il suffit de reporter ce fameux triangle sur la carte IGN de Dabo au 25 000ème.
 
Remarque: L'énigme 650 est la 10ème énigme. Or Altaïr, une des étoiles de la constellation de l'Aigle est la
                    11ème étoile la plus brillante selon certaines
sources. Or nous avons eu confirmation du
                    Falkenfels, (que l'on a découvert
grâce à la constellation de l'Aigle), dans la 11ème énigme.   
 
Un Madit affirme que le symbole de la chouette colle bien à la chasse, ce qui est cohérent, puisque la zone est délimitée par des corbeaux, des aigles et des faucons (le rocher des corbeaux, les bornes Saint-Martin et le Falkenfels).
 
 
Le Falkenfels
 
 
 

"Maintenant que tu as dénoué tous les fils."
 
Nous avons une zone triangulaire finale bien trop grande pour trouver la chouette.
C'est là qu'apparaît la notion de 12ème énigme, la supersolution.
Il est temps de dénouer les fils, il est temps de trouver ces fragments d’énigmes qui permettent de trouver la
cache. Les fameux "reliquats
".
Les "eux" de l'énigme 520
 
Observons la première phrase de l’énigme: "Entre eux, il y aurait deux intervalles s'ils étaient alignés".
Un Madit nous explique que le pronom "eux" a déjà été rencontré dans une énigme précédente.
Le pronom "eux" correspond au rocher des Corbeaux, aux bornes St-Martin et au Falkenfels, soit: des
corbeaux, des aigles et des faucons.
Or on a aussi rencontré Corbeau, Aigle et Faucon auparavant puisque ce sont tous des étoiles ou des constellations.
Donc on peut effectivement dire que l'on a rencontré le pronom "eux" dans l'énigme 600.
A noter qu'un Madit explique que la chouette colle bien à la symbolique de la chasse, ce qui correspond vu
que la zone est délimitée par des noms d'oiseaux.

 
 

L'odyssée de Tarazed


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